Newsletter Mai 2024

Votre newsletter du 15 mai 2024🍷

🤩 On se retrouve les samedi 1er et dimanche 2 juin au Mas de l’Ecriture pour les 25 ans du domaine

La date d’anniversaire du Mas de l’Ecriture approche. Les samedi 1er et dimanche 2 juin, Pascal Fulla et sa fille Léa ouvrent en grand les portes de leur domaine à Jonquières (lire la newsletter du 15 avril).

L’occasion pour tous les amis du Mas de déguster, en musique et avec des produits du terroir, les dernières cuvées du domaine, mais aussi de déboucher quelques bouteilles plus anciennes, dont l’Ecriture 1999, premier millésime du vignoble.

Au cours de ce week-end amical, on pourra découvrir le domaine à pied ou véhiculé à bord des derniers modèles Audi et Volkswagen, se détendre autour jeux oeno-ludiques et apprécier le travail artistique de l’école sétoise en s’arrêtant devant les inspirations géométriques et lumineuses de Laurent Peybernes. Invité pour la première fois au Mas, Arthur Dupuy, créatif multiforme, proposera sa vision personnelle de l’espace et du temps. « Cet artiste propose un travail sur la matière. Il s’inspire du noir de Mars utilisé par Pierre Soulages et revisite le bleu Klein. Au Mas de l’Ecriture, on présentera des petits et grands formats, des bourriches d’huîtres rehaussées de couleur…», détaille Maylin Bruniquel qui vient d’exposer cet expressionniste figuratif dans sa galerie située quai Aldophe-Merle à Sète. 

Depuis bientôt trois ans, cet espace épuré de 200m2 accueille de nombreux artistes permanents, dont Nicolas Monjo (surréalisme), Nitran et Oswald Olivato (figuration), Nathalie Debroise, une photographe qui cerne la matière marine. La galerie Bruniquel est ouverte du mardi au samedi, de 10 h et 12 h et de 15 h à 19 h. 04 67 46 09 83

🍝 Au Pressoir à Saint Saturnin, les grillades ont de tendres Pensées... 

C’est un repaire d’habitués et une étape incontournable pour les touristes qui arpentent la route des vins du Larzac. Créé en 1981, et orchestrés par Isabelle et Vincent depuis douze ans, les cuisines et le four à bois du Pressoir proposent une cuisine de terroir, des grillades et du poisson frais qui ravissent gourmands et gourmets en vadrouille au pays des vignes. Ici, en salle rustique ou sur la terrasse ombragée qui donne sur la place de la Fontaine, on mange simple et bon. 

Le menu à l’ardoise, qui change tous les jours, propose des plats traditionnels et des recettes signatures originales comme les caillettes à consommer froides ou chaudes, la tête de veau « maison », les ris d’agneaux, la fricassée de veau au vin, le civet de lièvre, le carré d’agneau de Lozère… 

Au milieu de la cinquantaine de références régionales, on trouve toutes les cuvées du Mas de l’Ecriture. Vincent a un faible pour les Pensées. « C’est l’équilibre parfait, la typicité du terroir. Sur une épaule d’agneau de l’Aveyron ou une viande grillée qui a du goût, c’est l’accord parfait, car ce vin est harmonieux ». Isabelle préfère la cuvée L’Emotion qu’elle marie à son Duo d’encornets et de moules, mais avoue que le sauvignon fruité des Poèmes en blanc reste son pêché mignon.

Le Pressoir est ouvert tous les jours, du mercredi midi au dimanche soir. 

Menu/carte de 25 à 45 €. Réservations au 04 67 96 70 59.

Après Midi Libre en janvier dernier, c’est au tour du magazine régional Midi édité par le Groupe Dépêche de s’attarder sur le Mas de l’Ecriture cher à Pascal Fulla et à sa fille Léa. Sous la plume du journaliste Sébastien Dubos, les lecteurs des treize départements d’Occitanie découvrent le domaine de Jonquières sous un autre jour. 

Sous le titre « La belle page dégustée avec les vins du Mas de l’Ecriture », on y apprend que les Fulla avouent avec sincérité « une inspiration venue des Châteauneuf-du-Pape, et des vins du Nord de l’Italie pour expliquer leur démarche ». On y lit aussi qu’en aucune manière, ces vignerons Bio « ne forcent le destin » et laissent « s’exprimer les potentialités particulières du secteur de Jonquières ».

Ancré en Terrasses du Larzac qui célèbre cette année les dix ans de l’appellation, le Mas de l’Ecriture écrit, saison après saison, de nouveaux chapitres relatés par la presse régionale. De nouvelles pages pleines de promesses, à l’encre poétique des pensées et des émotions.

 🌿 Circulade 2024 : la cuvée l’Emotion du Mas de l’Ecriture servie sur un pavé de veau de l’Aveyron

Le compte-à-rebours est lancé pour la 21e édition de la Circulade Vigneronne en Terrasses du Larzac. Elle se déroulera pour la première fois à Jonquières, les vendredi 5 et samedi 6 juillet 2024, à partir de 17 h. Donnés du château de Jonquières, les départs s’échelonneront jusqu’à 20 h 30.
 

Sur le thème « Olivettes et Mazet », cette virée d’environ 7 kilomètres guidera les promeneurs gourmets, en fin d’après-midi et en soirée, à travers un voyage œnologique et culinaire savoureux. L’occasion de déguster, sur le plat principal (4ème étape), la cuvée l’Emotion millésime 2021 du Mas de l’Ecriture. Elle accompagnera un pavé de veau IGP de l’Aveyron et du Ségala, servi sur un crémeux de petits pois, pain perdu aux fèves et oignons doux de Lézignan. On en salive déjà !

Cette avant-dernière étape permettra aux randonneurs gourmands et amateurs de belles bouteilles d’échanger directement avec Pascal Fulla et sa fille Léa, les deux « vignerons auteurs » du Mas de l’Ecriture. Prenez date, prenez note !

🚫 A la vigne, c’est la chasse aux papillons ravageurs

Le vignoble est attaqué chaque année par des papillons qui pondent sur les feuilles. Lorsque les vers apparaissent, ils percent les baies de raisin pour se nourrir et causent d’irrémédiables dégâts. La vigne fait face à deux variétés de papillons, l’Eudemis depuis longtemps, et plus récemment le Cryptobables. Tous deux pondent sur plusieurs générations, c’est-à-dire à plusieurs reprises durant la saison.

Pour lutter contre ces ravageurs sans tuer le vivant, le Mas de l'Ecriture met en œuvre, depuis près de dix ans, la confusion sexuelle. Le principe est simple : à l’aide d’une capsule (en jaune sur la photo) il s'agit de diffuser une phéromone de synthèse dont le pouvoir attractif est équivalent à celui de la phéromone naturelle émise par la femelle. Désorientés, les mâles ne retrouvent plus les femelles, ce qui réduit les accouplements et les pontes. Au fil des ans, le parasite est éliminé et ne peut plus se reproduire.

Cette action, qui a le grand mérite d’éviter la pulvérisation d'insecticides y compris Bio, est d’autant plus efficace que, dans le secteur de Jonquières, quasiment tous les vignerons Bio la pratiquent. En effet, sur 12 caves particulières implantées sur notre commune, 11 sont en Bio.